Systèmes d’alarme : ce que les installateurs ne vous disent pas… mais que les cambrioleurs savent déjà

Le fonctionnement d’un système d’alarme est bien connu de ses utilisateurs… mais encore mieux maîtrisé par les criminels à qui il est destiné.
Un système d’alarme se compose d’une centrale – véritable cœur du dispositif – reliée à différents capteurs.
Ces capteurs se déclinent en plusieurs familles selon le type de détection :
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Contacts d’ouverture pour portes et fenêtres
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Détecteurs de mouvement (infrarouge simple, double ou triple technologie)
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Capteurs spécifiques adaptés à l’environnement à protéger
Pour contrôler ou désactiver le système, on retrouve différentes solutions techniques : clavier, boîtier à clé, télécommande, application mobile, etc.
La transmission : le vrai nerf de la guerre
La centrale est reliée à un moyen d’avertissement : sirène, transmetteur GSM ou autre technologie de communication.
Aujourd’hui, la solution la plus courante vendue par les installateurs est le transmetteur GSM sur réseau cellulaire.
Pourquoi ?
Parce qu’elle leur permet de vous vendre un abonnement SIM sur lequel ils touchent une commission mensuelle.
Le problème ?
Cette solution est aussi la plus facile à neutraliser.
Pour moins de 50 €, un cambrioleur professionnel peut s’équiper d’un brouilleur GSM. En un clic, votre système est totalement aveugle : plus aucune transmission vers l’extérieur, plus aucun appel possible à la télésurveillance.
Le mythe du « meilleur système du monde »
Vous pouvez investir dans l’alarme la plus chère du marché… si elle ne peut pas transmettre son alerte, elle est inutile.
Le scénario est simple :
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Le cambrioleur brouille le GSM.
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Votre centrale croit toujours que tout fonctionne.
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Vous découvrez les dégâts à votre retour, trop tard.
Et ne comptez pas sur le voisinage : une sirène extérieure ne réveille même plus les chats nocturnes.
D’ailleurs, certains systèmes haut de gamme ne déclenchent la sirène qu’en cas de transmission coupée, pour laisser croire au voleur qu’il n’a pas été détecté… ce qui ne sert à rien si la réaction n’est pas immédiate.
La télésurveillance : le maillon faible
Un centre de télésurveillance n’est pas capable de réagir à la seconde.
La loi (article 152) les oblige à vérifier l’alarme avant de prévenir la police, ce qui entraîne un retard fatal.
En pratique :
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Ils vous appellent d’abord.
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Vous répondez (ou pas).
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Vous confirmez l’intrusion.
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Puis ils appellent la police.
Résultat : 8 à 12 minutes de perdues.
Et dans ce laps de temps, un voleur confirmé a déjà terminé son travail.
BeAlarme® : supprimer l’intermédiaire, gagner en réactivité
Pourquoi payer un centre de télésurveillance pour simplement vous prévenir que votre alarme fonctionne ?
Avec BeAlarme, vous recevez directement sur votre smartphone :
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La notification d’alarme instantanée
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Les images HD de vos caméras (pas des photos floues de détecteurs)
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Une lecture accélérée pour visualiser les 5 minutes précédentes en 10 secondes
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La possibilité de confirmer l’effraction et appeler immédiatement la police
La différence décisive
Avec BeAlarme® :
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Vous respectez la loi grâce à une levée de doute vidéo conforme.
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Vous gagnez plusieurs minutes sur l’intervention.
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Vous transformez votre alarme en véritable outil dissuasif.
Avec une réaction mesurée en secondes, les cambrioleurs n’ont plus le temps de travailler « en toute tranquillité ».
Et c’est précisément ce qu’ils détestent.
Conclusion
Un système d’alarme n’est efficace que si la transmission est protégée et la réaction immédiate.
Les brouilleurs GSM et les délais des centres de télésurveillance rendent obsolètes les solutions classiques.
Avec BeAlarme®, vous avez :
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La vitesse
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La preuve vidéo
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Le contact direct avec la police
En sécurité, chaque seconde compte. Ne laissez pas un centre de télésurveillance vous en voler dix.
