Alarme anti-effraction : ce que les installateurs et la télésurveillance ne vous disent pas

 

Introduction

Installer une alarme anti-effraction pour protéger son domicile ou son entreprise est devenu courant.
Les installateurs proposent souvent des formules standardisées, avec un même type d’équipement et un prix fixé selon quelques critères.
Mais derrière le discours commercial rassurant, il faut distinguer le mythe de l’anti-effraction de la réalité opérationnelle.


Un système d’alarme n’empêche pas une effraction

Un système d’alarme n’est pas un mur invisible qui bloque un cambrioleur.
Il ne fait que détecter une intrusion en cours.
Certains acteurs prétendent qu’avec des détecteurs de choc, il est possible de “protéger” les portes et fenêtres en détectant les vibrations avant l’effraction.
En pratique :

  • Détecter un choc ne suffit pas à empêcher l’effraction

  • L’alerte déclenchée ne garantit pas une intervention rapide

  • Le cambrioleur peut déjà être à l’intérieur avant toute réaction


L’obstacle légal : l’article 152 de la loi sur la sécurité privée

En Belgique, l’article 152 impose une levée de doute avant tout appel à la police.
Conséquences :

  1. Le centre de télésurveillance doit analyser l’alerte

  2. Puis contacter le client pour confirmer

  3. Enfin, seulement après validation, appeler les forces de l’ordre

Cela signifie qu’un voleur qui force votre porte sera peut-être déjà dans votre salon avant que l’appel ne parte vers la police.
Ce processus rallonge inévitablement le temps de réaction.


Les limites de la télésurveillance classique

Les installateurs vantent souvent la télésurveillance comme la meilleure option, mais :

  • Les centres gèrent des centaines d’alarmes simultanément

  • Les procédures internes provoquent des délais de traitement

  • Aucun délai minimal n’est garanti contractuellement

  • Même un appel une heure après respecte le contrat

En résumé : la télésurveillance n’assure pas une intervention immédiate et peut perdre un temps précieux face à un cambriolage réel.


Les commerciaux : discours rodé, expertise limitée

La vente de systèmes “vraiment sûrs” est souvent confiée à de jeunes commerciaux sans expérience réelle en sécurité.
Ils représentent l’entreprise, portent un uniforme rassurant, mais ne maîtrisent ni les techniques de cambriolage, ni les contraintes juridiques.
Leur mission : vendre un abonnement, pas concevoir la protection optimale de vos biens.


La vraie solution : contrôle direct et vidéo intégrée

Pour réduire le temps de réaction, il faut supprimer les intermédiaires et donner au propriétaire les outils pour agir immédiatement.
Avec un système comme BeAlarme™ :

  • Vous recevez l’alerte directement sur votre smartphone

  • Vous accédez aux images vidéo associées

  • Vous pouvez contacter immédiatement la police

  • Vous réduisez le délai d’intervention à quelques secondes

Ce fonctionnement rend le système bien plus dissuasif face aux cambrioleurs.


Comparatif : télésurveillance vs BeAlarme™

Critère Télésurveillance classique BeAlarme™
Délai avant action 5 à 15 min ou plus Instantané
Levée de doute Obligatoire par loi Directe par l’utilisateur
Intermédiaire Oui Non
Efficacité réelle Moyenne Très élevée

Conclusion

L’alarme anti-effraction vendue comme une protection absolue est en réalité un système d’alerte, limité par la loi et les procédures internes des centres de télésurveillance.
Pour une sécurité réelle, il faut un dispositif qui vous donne l’information et le contrôle en direct, sans intermédiaire inutile.
Avec BeAlarme™, vous transformez votre système en outil réactif, capable d’agir dans les secondes qui comptent.