Les principaux facteurs de vulnérabilité d’un logement

1. L’environnement du logement

L’emplacement influence fortement le niveau de risque.

• Quartiers sensibles : si des cambriolages ont déjà eu lieu dans la zone, la probabilité d’une nouvelle intrusion est plus élevée.

• Accès routiers rapides : une maison proche d’une autoroute ou d’un axe principal facilite la fuite des cambrioleurs.

• Rues isolées ou mal éclairées : un environnement sombre et peu fréquenté permet aux intrus d’agir discrètement, surtout lorsque la maison est directement visible depuis la voie publique.

2. Le type d’habitation

Toutes les constructions n’offrent pas la même résistance face aux intrusions.

• Maisons individuelles : plus exposées qu’un appartement situé dans un immeuble sécurisé.

• Multiples accès : chaque ouverture supplémentaire (porte, fenêtre, Velux) augmente les opportunités pour un cambrioleur.

• Rez-de-chaussée et terrasses : ces configurations facilitent l’entrée des intrus.
  Même si des serrures multipoints ou des volets offrent une certaine protection, elles restent moins efficaces que des portes ou fenêtres blindées.

3. Les habitudes des occupants

Les voleurs observent souvent la routine des habitants avant d’agir :

• Logement fréquemment inoccupé

• Présence d’une seule personne

• Absences régulières et prévisibles
  Ces comportements rendent la maison plus attractive pour les malfaiteurs.

4. Des solutions concrètes

Pour améliorer la sécurité de votre logement :

• Appliquez des mesures de prévention simples (bonne gestion des accès, éclairage extérieur, vigilance du voisinage).

• Faites appel à un conseiller en sécurité agréé : il pourra réaliser un audit personnalisé et proposer les dispositifs les plus adaptés à votre habitation.